La Tribune (Algiers)
12 Février 2007Publié sur le web le 12 Février 2007
Yasmine Ferroukhi
Abordée pour la première fois en conseil de gouvernement, le 20 décembre dernier, en tant que l'un des volets constituant le dossier portant Stratégie et politiques de relance et de développement industriels, la notion d'intelligence économique fera dans quelques jours et pour la première fois en Algérie l'objet d'une post-graduation spécialisée (PGS) que seule l'Université de la formation continue (UFC) assure pour le moment.
Ceux en mesure d'appréhender la portée d'une telle spécialisation savent qu'il s'agit d'une grande première lorsqu'on sait par exemple qu'en France qui, elle, se considère déjà très en retard par rapport aux Anglo-Saxons, c'est toute une école qui lui est consacrée et dont le nom détermine à lui seul l'importance et les enjeux. Il s'agit de l'Ecole de guerre économique de Paris, une référence européenne, car les guerres sont aujourd'hui indéniablement économiques où, dit-on, «l'information remplace le fusil, et le concurrent, l'ennemi».
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